1939, Kabbale, Lévi (Constant), La clef des grands mystères.

An/Year: 1939
Auteur/Author: Levi Eliphas (c'est Constant Alphonse-Louis)
Editeur/Editor/: Niclaus
Langue/Language: France
Format: Broché
Dimension: 22,5 x 14 cm
Condition: D'occasion - Bon

La clef des grands mystères suivant Hénoch, Abraham, Hermès, Trismégiste et Salomon. Par Eliphas Lévi (pseudonyme de Alphonse-Louis Constant). Nouvelle édition ornée de 25 figures. Paris 1939.

• Etat : bon état, petit défaut en haut du dos, quelques pages traces de pliure au coin supérieur ou avec des annotations en stylo noir.
• Illustrations : nombreuses illustrations en noir et blanc hors et dans le texte.
• Reliure : couverture souple d'éditeur.
• Volume : 1 volume.
• Format : in-8.
• Pages : 2 ff., IV, 498 pp.
• Editeur : Paris, Editions Niclaus.
• Date : 1939.
• Références : Caillet I, 2567 (pour des éditions précédentes).
  
  
  "Cette oeuvre magique est un traité complet de haute kabbale et de philosophie hermétique" (Caillet).
  
  Explication de la valeur symbolique etprophétique des nombres. - Raison des mystères. - Mystères philosophiques, magnétiques, magiques. - Les grands secrets pratiques. - La baguette de Circé. - Le bain de Médée. - Les secrets de Cagliostro. - Possibilité de la résurrections. - Le grand arcane de la mort. - La religion au point de vue kabbalistique. ...
  
  En 1854, Alphonse Constant (1810 - 1875) habite la rive gauche de la Seine, qu’il ne quittera plus jusqu’à sa mort. La publication de l’Histoire de la Magie lui apporte ensuite la notoriété et attire à lui confrères comme Delaage ou Rozier et admirateurs comme Spedalieri. Il fonde une éphémère Revue philosophique et religieuse et obtient de ses ouvrages des rentes. Il se produit dans les salons littéraires et donne des cours sur l’ésotérisme, pratique des expériences alchimiques, donne des consultations de Tarot et de chiromancie et pratique le magnétisme curatif. Il se fait par ailleurs initié à la maçonnerie en 1861, obtient le grade de maître mais quitte la loge six mois plus tard. Sa santé décline vers 1870, il faillit mourir de faim lors de la guerre franco-prussienne qui le coupa de ses disciples, et il meurt en 1875. Nombre de ses manuscrits ne furent jamais publiés.